Le 8 mars est la Journée internationale des femmes et, une fois de plus, le monde mettra des femmes innovatrices exceptionnelles sous le feu des projecteurs. Le thème de cette année -#BreakTheBias - est un appel aux armes visant à nous inciter à évoluer vers un monde plus diversifié, plus équitable et non sexiste. Après tout, les femmes ont le droit aux mêmes excellentes options de carrière et à la même liberté financière que les hommes. Mais, pour réaliser ces objectifs, il est essentiel que les filles aient accès à des outils comme l’éducation supérieure pour les aider à poser les bases de leur réussite.
Un Rapport de Statistique Canada de 2021 a montré que les Canadiens qui détenaient une éducation postsecondaire gagnaient en moyenne 18 868 $ de plus que les diplômés du secondaire. C’est une différence importante qui a fait réagir les parents. Ce même rapport de Statistique Canada de 2021 a également révélé que plus de femmes que jamais poursuivent des études. En fait, les femmes obtiennent plus de diplômes universitaires que les hommes : 44 % de femmes ont obtenu des diplômes universitaires par comparaison à 33 % d’hommes. Il n’y a pas si longtemps, le journal The National Post avait prédit que deux femmes pour chaque homme obtiendraient un diplôme et cette tendance ne semble pas faiblir. Ce qui pose la question de savoir : est-ce que l’éducation réussit à combler le fossé entre les genres et à uniformiser les règles du jeu?
Les chiffres sont éloquents. Un Rapport de statistique Canada de 2022 a indiqué que le nombre d’hommes occupant des postes de cadres dirigeants se chiffrait à 69 % comparativement à 31 % de femmes. Ainsi, bien que les femmes aient avancé en matière d’éducation, elles n’accèdent pas à la même proportion d’emploi mieux rémunérés. Cela ne veut pas dire que les femmes n’ont pas un impact significatif et qu’elles ne changent pas le monde. Le Globe and Mail ROB Magazine a récemment reconnu 50 leader émergents qui ont réinventé la façon dont le Canada mène ses activités. Parmi ces réalisateurs de changements, 30 étaient des femmes. Il y avait des chefs de la direction, des fondatrices, des dynamos de fintech, des agentes d’affaires, une professeur et même une experte « intrapreneur » qui ont toutes aidé à leur manière à aplanir les disparités pour les femmes. Le National Speakers Bureau (NSB) a un nombre tout aussi inspirant de pionnières. Sa liste d’humanitaires, de militantes autochtones, d’athlètes, de scientifiques, d’écrivaines, de commentatrices sportives, d’entrepreneuses et même de négociatrices d’otages démontre que le potentiel des femmes est illimité lorsqu’elles sont armés de détermination, de passion et d’une éducation supérieure.
L’éducation supérieure peut jouer un grand rôle pour aider à éliminer les écarts, les inégalités et les préjugés. Néanmoins, bien que les avantages de poursuivre des études supérieures soient clairs, le coût de ces études peut paraître inaccessible. Et c’est là qu’un régime enregistré d'épargne-études (REEE) peut aider. Les parents disposent d’un moyen facile d’épargner en vue des études postsecondaires et d’ouvrir un monde de possibilités pour leurs enfants. Le gouvernement du Canada donne aussi un coup de pouce à votre épargne-études en versant un montant égal à 20 % des premiers 2 500 $ que vous cotisez chaque année au REEE de votre enfant chaque année, jusqu’à concurrence de 7 200 $ à vie pour chaque enfant.
Pourquoi ne pas vous laisser inspirer par la Journée internationale des femmes pour établir une rampe de lancement pour votre fille? Contactez-nous afin d’ouvrir un REEE du Plan CST pour vous aider à épargner en vue des études de votre fille après le secondaire. Munie d’un REEE du Plan CST, votre fille pourrait bien être la prochaine femme qui changera le monde.
Les régimes du Plan fiduciaire canadien de bourses d’études (Plan CST) sont vendus par prospectus uniquement.
Les régimes du Plan CST sont distribués par Épargne C.S.T. inc.